Ce matin, le trajet vers mon lieu de travail a encore été l'occasion d'une fantastique aventure (j'inaugure à cette occasion une nouvelle rubrique...). Mais d'abord, place à la frustration.
J'ai pris le RER A pendant de nombreuses années, cette année sera en fait la quinzième, et jusqu'à il y a un an environ, l'expérience, sans être waouh, avait toujours été correcte: je montais, je sortais mon journal, le RER filait, et hop j'étais à l'école ou au travail, sans souffrance. Mais depuis quelques temps, c'est l'enfer tous les matins, le train avance un peu, ralentit, s'arrête, repart, etc..., amenant aux limites du supportable le temps de transport et la promiscuité. Ajouter à cela la souvent mauvaise qualité (voire l'absence) de l'information fournie aux voyageurs...
Ce matin donc, des sommets ont été atteints:
- premiers ralentissements à Fontenay, comme souvent, mais l'initié que je suis n'y prête plus vraiment attention
- stationnement à l'approche de Châtelet pour cause d'avarie sur le train devant nous
- stationnement à l'approche d'Auber pour cause de malaise voyageur dans le train devant nous
- prolongation de notre arrêt pour cause de signal d'alarme tiré dans notre train
- last but not least, arrivés en gare, une dame à côté de moi s'écrie "ah ça suffit maintenant, vous allez arrêter" en regardant un monsieur a l'air penaud qui offre de faibles dénégations. Incompréhension des autres voyageurs, regards curieux, la dame continue, puis une autre dame dit "j'avais bien senti mon sac bouger, mais quand j'ai regardé il a rangé son truc". Ainsi s'est envolée ma suspicion d'acte de pickpocket...
Y a pas, le RER A, c'est sympa! (enfin j'abuse un peu parce qu'il paraît que le B est bien pire, ainsi que le D, et le C de mes souvenirs est certainement aussi)
Monday, February 18, 2008
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