Sunday, December 23, 2007
Saturday, December 22, 2007
Keskydee
Un aspect de la présence française en Californie que j'ignorais. Il y a eu beaucoup de Français en Californie au moment de la ruée vers l'ors, vers 1850. Et comme déjà ils n'étaient pas doués en langues étrangères, ils disaient souvent "qu'est qu'il dit?"...
Sunday, December 9, 2007
La physique pour les nuls
Si on prend la définition du travail d'une force, ouvrière par exemple:
Le travail d'une force est l'énergie fournie par cette force lorsque son point d'application se déplace (l'objet subissant la force se déplace ou se déforme).
On conclut donc que les syndicalistes vivent dans une sorte d'anti-monde où l'action a pour résultat un travail nul. C'est ce que nous gens normaux appelons un monde de glands. Les syndicalistes vivent donc dans un chêne!
Etonnant non?
Friday, December 7, 2007
Tuesday, November 27, 2007
Ca commence à ressembler à une base de données
Si ça se trouve c'était depuis le début sous mon nez et je suis juste très con :(
The strangler always strikes twice
J'ai donc revu Rope, un huis-clos très intéressant, puis Strangers on a train, un thriller passionnant. Ce qui est marrant c'est que la victime meurt étranglée dans les 2 cas, d'une façon très douce, avec un sang-froid total, par un individu qui se croit au-dessus du commun des mortels, ce qui justifie selon le fait qu'il puisse mettre un terme à l'existence d'être inférieurs. Et c'est aussi le même acteur, Farley Granger, qui incarne le personnage principal. Bon, je prends quelques raccourcis, dans un cas il tue mais est sous l'ascendance du fameux être supérieur, dans l'autre cas le fameux être supérieur effectue le boulot pour lui, en échange d'un bon procédé.
Le mâââââle
Saturday, November 3, 2007
Petits secrets du démineur
Un billet très intéressant par un des programmeurs de Windows Vista à propos de la nouvelle version du démineur.
Friday, November 2, 2007
Boycott Dubai
Bref. Je ne sais pas dans quelle mesure on peut boycotter Dubai, et si c'est une bonne solution, normalement c'est à notre gouvernement et à nos medias de faire quelque chose, mais en leur absence, il y a boycottdubai.com.
Wednesday, October 31, 2007
Halloween
Ce soir c'est Halloween. En France on fête pas trop. Aux US, c'est une bonne occasion pour faire une grosse fête et se lâcher un peu. J'ai fêté 2 fois Halloween aux US.
La première fois, j'étais Batman. J'ai commencé la soirée en faisant les courses, déguisé en Batman donc, avec un caddie pour Batmobile, en compagnie de César et d'une gentille sorcière. J'ai passé le reste de la soirée dans une grande maison avec plein de gens souvent très bien déguisés et bourrés. C'était une soirée sympa.
La deuxième fois, je suis allé à SF avec mon pote David, car j'avais entendu dire qu'il y avait une super fête dans le Castro, le quartier très gay de SF. Et c'est ainsi que devait commencer une longue nuit de galériens...Tout d'abord, aller à SF. Solution retenue: prendre le bus Greyhound. Environ 1h15 de San José à SF. Tranquille, Puis trouver son chemin jusqu'à "la fête". A pied évidemment. Après environ 45 minutes de marche, arrivée dans le Castro. L'excitation nous gagne. Il y a du peuple, plein de gens déguisés. Cooooooooool. Et donc on marche, on regarde, on marche. Et on a faim, et soif, et puis il commence à faire froid. En fait il y a pas grand-chose à faire. Je ne sais plus trop ce qu'on pensait trouver à l'époque mais on pensait que Halloween à Castro ce serait génial. Bref. On n'a pas trouvé ça génial, et le temps de prendre une photo avec des hommes travestis en serveuses du Hooters, on avait décidé de rentrer à la maison. Il commençait à se faire tard, et on commençait à réaliser qu'il n'y allait peut-être pas y avoir de bus toutes la nuit, nous décidâmes donc de nous hâter. Evidemment la marche s'avéra fort longue, et SF la nuit n'a pas le même visage que le jour (entre autres on trouve peu de commerces ouverts). C'est ainsi que nous prîmes une bifurcation sur les conseils d'un tenancier de bar pour éviter le coin des dealers. Bref. Nous parvînmes enfin à destination, et évidemment il n'y avait plus de bus. Heureusement, la station Greyhound restait ouverte. Il ne nous restait donc plus qu'à attendre jusque 6:30 am, soit environ 8 heures, sur des sièges en métal, entourés de clochards et de pauvres galériens comme nous. Inutile de dire que nous n'avons pas fermé l'oeil de la nuit, chacun veillant l'un sur l'autre et sur son sac à dos. Une nuit mémorable...
Sunday, October 28, 2007
Monday, October 22, 2007
Doesn't make sense no more
Tuesday, September 18, 2007
Hervé Kempf
Je ne connais pas ce gars, je l'ai vu rapidement sur I Télé, mais ses idées sont intéressantes. Evidemment je dis ça parce qu'elles se rapprochent des miennes...Son dernier livre, Comment les riches détruisent la planète, vient de paraître. Je ne l'ai pas lu, je ne le lirai sûrement pas, mais le titre me plaît. A priori, les riches, ce ne sont pas les riches au sens occidental du terme, mais plutôt au sens...oriental? Bref, ce sont les gens comme moi. Et encore, je consomme très peu, soit par radinerie, soit par conscience aiguë de la futilité de notre société de consommation, qui fait peser sur nos épaules la culpabilité du timide consommateur responsable de la faiblesse de notre croissance économique. En fait je dois être un rebelle, refusant de céder au diktat de la société de consommation, je me sacrifie et vit dans le dénuement le plus total...
Bon, bref, trêve de digressions. Sérieusement, je me demande quel est le pourcentage de la population qui a conscience de l'impact de son mode de vie sur l'environnement et a la moindre volonté de modifier, même légèrement, son mode de vie pour réduire cet impact. Je suis toujours effaré de constater que nombre de mes collègues laissent couler l'eau lorsqu'ils se lavent les mains par exemple. C'est un changement simple à faire, et pourtant, il semble que ça soit encore trop dur. Tout à l'heure sur Arte, dans Les pays riches sont-ils en faillite, il y avait un gars, un Américain, autrefois un avocat gagnant très bien sa vie, travaillant dur, consommant à tout va, comparait la société américaine à une famille d'alcooliques. Dans cette famille d'alcooliques, soudainement, quelqu'un se réveillait et admettait qu'il avait un problème, prenait conscience qu'il était alcoolique, et était mûr pour faire changer les choses. Et d'autres membres de sa familles l'écoutaient et comprenaient que eux aussi avaient un problème, et comprenaient qu'il était temps qu'ils changent de mode de vie, et étaient prêts à le faire. Sa métaphore est bonne, reste à espérer qu'elle s'applique effectivement. Il serait temps!
Sunday, September 16, 2007
Motivation et réussite
Il y a pas mal de bouquins à vocation inspirationniste, pleins de bons conseils pour réussir, prendre la vie du bon côté, devenir un leader, etc...Ca fait marrer les cyniques, pardon, les pessimistes, voire les losers qui ne voient dans ces livres que des machines à fric vendant du rêve enrobé de pepsodent. Heureusement, tous les cyniques ne sont pas des losers, certains sont très intelligents et peuvent même gagner de l'argent. Un exemple avec le site Despair, Inc qui vend des posters, des T-shirts, etc...avec des slogans pour le moins réalistes. Parmi mes préférés:
- Just because you're necessary doesn't mean you're important
- If at first you don't succeed, failure may be your style
- For every winner, there are dozens of losers. Odds are you're one of them.
V
Ah, sinon, je ne sais plus si j'avais fait attention en voyant le film, mais John Hurt joue le rôle du dictateur. Or, John Hurt avait le rôle principal dans 1984, mais là il jouait le rôle du gentil, et là aussi il mourait à la fin...Je ne pense pas que ça soit une coïncidence, sauf si l'unique raison était qu'ils avaient besoin d'un bon acteur un peu vieux avec un accent anglais...
Tuesday, September 11, 2007
Got it!
J'ai trouvé, assez facilement, une version scannée de Daredevil Born Again. Oui, je sais, c'est mal, mais c'était pour une bonne cause.
J'ai parcouru les 176 pages de la BD avec beaucoup de plaisir. D'une certaine manière, je comprends pourquoi Lug avait décidé d'arrêter la parution de ce récit, qui est en effet assez chaud, pour le public visé à l'époque par Strange.
En "feuilletant" la BD, j'ai remarqué un hommage à Jack Kirby. Ce qui m'a fait pensé à un article que j'ai lu il n'y a pas longtemps dans le NYT à propos de Jack. L'article partait du fait que Jack Kirby avait créé le personnage du Surfer d'argent, le vilain du nouvel opus des 4 Fantastiques, et qu'en fait il était même LE créateur de l'univers Marvel, celui qui avait révolutionné la BD US et qui avait inventé une bonne partie des héros emblématiques de Marvel. Bref, Jack Kirby avait été plus ou moins lâché par Stan Lee, lequel s'était approprié une bonne partie des mérites de la création et du développement de Marvel ainsi que de la BD US. Et que Frank Miller rende hommage à Jack Kirby, ce n'est pas étonnant, car lui aussi est un acteur majeur de la BD, un créateur, un artiste original, un révolutionnaire.
Saturday, August 25, 2007
Daredevil Born Again
J'ai eu pendant des années sous mes yeux, sans m'en rendre compte, un bijou de la BD US: Daredevil Born Again, scenario de Frank MILLER et dessins de David MAZZUCCHELLI. Enfin un morceau seulement. Cette série a été publiée dans Strange par Lug d'avril 1987 (Strange #208) à juillet 2007 (Strange #211). Les épisodes restants ont malheureusement été censurés par Lug qui, considérant qu'ils étaient trop violents (voir le courrier des lecteurs du #211 en réponse à Charles ALONZO), a décidé de ne pas les publier, et de mettre une série totalement insipide à la place, les Vengeurs...
Bref. Pour résumer, Daredevil Born Again décrit la descente aux enfers de Matt Murdock / Daredevil, orchestrée par le Caïd qui, grâce aux révélations de Karen Page, a découvert son identité secrète, puis sa résurrection.
Il y a de bons résumés donc je ne m'étends pas: ici, ici, et ici entre autres.
Marvel Zombies
Marvel Zombies (volume 1) est une BD hilarante que j'ai lue avec beaucoup de plaisir. Pour résumer, un virus a contaminé des habitants de la terre et les a transformés en zombies affamés de chair humaine. Les êtres dotés de super-pouvoirs n'ont pas échappé au virus et ont évidemment bouffé tout le monde en un rien de temps. Ils ont donc les super-crocs. Le premier volume de la série ouvre sur la poursuite de Magneto, qui n'a pas été contaminé, par un groupe de super-héros enragés et affamés.
Les connaisseurs de l'univers Marvel (qui, en France, ont lu Strange, Special Strange, Spidey, Nova, Titans) apprécieront particulièrement, la BD regorgeant de références à des aventures passées de nos personnages Marvel (l'Araignée, Iron Man, Captain America, Hulk, Serval, ...). Les non initiés devraient eux aussi apprécier l'humour caustique et les dessins de cette série.
Monday, July 30, 2007
Grand film
nouveau à raconter, il y a plein de sites qui font ça très bien. Les scènes sont
géniales, incongrues, absurdes, limpides. Les acteurs, Gérard Depardieu,
Bertrand Blier, Jean Carmet, entre autres, sont fantastiques. Et Carole
Bouquet est sublime...Du coup j'ai envie de revoir Les Valseuses!
Friday, July 27, 2007
Faites des études qu'y disait...
Je connais quelqu'un qui est ingénieur en informatique. Comme beaucoup de ses congénères, il travaille, et c'est sa joie, pour le compte d'une SS2I, c'est ce qu'on appelle appelle un consultant (sisi, on y croit). Bref, cette connaissance est prestataire à la Société Générale (SG). Son travail, passionnant, d'autant plus qu'il a à sa disposition tous les outils qui lui permettent de réaliser ses tâches de manière efficace et que son chef de projet fait très bien son travail et a mis en place des processus très efficace, consiste à maintenir en vie une application de gestion d'OPCVM, et à la faire évoluer. Il fait donc un peu de tout: du développement, du bug fixing, du support de production, ... Autant dire qu'il est un rouage indispensable de la grande machine économique qu'est la SG. Rouage tellement indispensable que, pour assurer la qualité de service inhérente à une application par laquelle passent des milliards d'euros par jours, il va bientôt devoir effectuer des astreintes téléphoniques de nuit, de 21h00 à 6h00 plus précisément, durant une semaine complète. Grande responsabilité s'il en est. On pourrait s'attendre à ce que pareille responsabilité, qui s'accompagne quand même de quelques contraintes, comme s'assurer qu'on est joignable à tout instant, avoir un planning de production de 30 pages à portée de main, connaître les procédures de rattrapage par coeur, soit correctement rémunérée. Et bien il n'en est rien! Notre pauvre ingénieur développeur va toucher, au mieux, la somme rondelette de 3 euros bruts de l'heure (la SS2I facture un prix légérement supérieur, mais il faut déduire ses charges). Je laisse volontairement le calcul du prix net à la charge du lecteur. Ainsi, en guise de conclusion légère, je conseille au lecteur:
- d'éviter de se faire embaucher par une SS2I (mais on n'a pas toujours le choix)
- d'éviter de se faire embaucher par la SG si on est développeur de base
- de faire des études pour être commercial, ou trader, ou plombier (il est temps de cesser de dénigrer les métiers manuels)
- s'il ne suit pas mes conseils, d'avoir toujours une dose de vaseline à porter de main
A bon entendeur...
Note: la plus grosse enculade se fait aux dépens de l'embauché SG, cadre dans notre cas: s'il se déplace en pleine nuit pour éteindre un incendie, il n'est plus payé (même pas les 3 euros bruts) car sa présence sur le lieu de travail fait partie de son forfait. Qui a dit que travailler plus permettrait de gagner plus?
Wednesday, July 11, 2007
Du rififi au PS
En tout cas, pour l'instant, pour moi, il est difficile de conclure sur ce qu'essaie de faire Sarkozy. Vraie politique d'ouverture ou habiles manoeuvres pour disloquer le PS? Peut-être un peu des deux. Il recrute des éléments du PS pour leurs qualités, reconnues, admises, une méthode de gestion que les Français, fatigués des connivences entre vieux briscards de la vie politique, ont toujours voulue, et si des partis ou des hommes politiques ne sont pas assez mûrs pour ça, qu'ils disparaissent et laissent la place aux "nouvelles générations".
Ainsi, quelques bonnes choses pourraient ressortir des manoeuvres de Nicolas Sarkozy, telles la rénovation du PS, la disparition des conservateurs du parti, la montée de réformateurs, et l'acceptation du principe de qualité pour les nominations aux postes clés plutôt que l'appartenance à une famille politique. Au revoir François Hollande, bonjour...?
Tuesday, June 26, 2007
Astro City
Apparemment c'est une série. Le volume que j'ai consulté(#4: The tarnished angel) est excellent en tous points, graphisme, scénario, personnages, tout est bon. Bien au-dessus des comic books qui ont accompagné mon enfance (Strange, Titans, Spidey, ...). Pour donner une idée de la qualité, la couverture, l'introduction, et quelques planches ont été réalisés par [le grand] Frank Miller...
Friday, June 15, 2007
The decline of news
L'article The Decline Of News écrit par Neil Henry et paru dans le San Franciso Chronicle complète bien mon opinion.
Tracking the entire world
Quelques exemples:
- Amy Winehouse, ma chanteuse du moment (risques: fumeuse)
- Saddam Hussein (job: dictateur)
- Oussama Ben Laden (job: terroriste)
- Cary Grant (sexualité: sujet à débat)
- Tony Parker (ethnicité: multiracial)
De là à faire des heures sups...
Tuesday, June 12, 2007
Macabre?
Ce qui est incroyable, c'est qu'il y a une floppée de sites de ce style:
- Dead or alive
- Dead people server
...
Forbes dresse tous les ans une liste des célébrités mortes qui ramassent le plus d'argent, avec le charmant sous-titre Cashing in while pushing daisies.
Top-Earning Dead Celebrities
Hush hush
Good Plastic Surgery
La prochaine découverte? Le site des célébrités mortes!
Saturday, May 26, 2007
WTF (suite)
Thursday, May 24, 2007
WTF?!?
Tout ça pour dire que je consulte depuis peu le blog WTF, ce qui signifie Worse than failure, et qui publie des horreurs trouvées par des ninfomanes sur leurs projets. Entre autres, cet article m'a remotivé pour écrire un petit quelque chose après 1 mois de silence. Il y a aussi celui-là, une vraie perle...
Sunday, April 22, 2007
Jour J
Saturday, April 21, 2007
Grec, Turc, c'est pareil!
Thursday, April 19, 2007
Korean Terminator
son arme, parce qu'il vaut mieux être le premier à tirer; il n'y aurait pas d'équilibre de la peur comme avec les armes nucléaires. Et puis une arme à feu, ce n'est pas comme un coup de poing, on en reste rarement au stade de l'incident, toute utilisation tourne à la tragédie. Et que l'on ne d'utilisation responsable, je n'y crois pas. Déjà, avec une voiture, la plupart des gens sont capables de bien se comporter, alors avec des pistolets...Bref, la seule solution, c'est d'interdire la vente d'armes à feu au citoyen lambda, de réduire à l'impuissance la nuisible NRA, d'arrêter d'enrichir les marchands de mort et de misère que sont les fabricants d'armes à feu (ils font déjà assez- quand décideront-ils de stopper les ventes d'armes dans ce pays? Des fous il y en a partout, mais ils ne pourraient pas causer de tels carnages si l'accès aux armes à feu était rendu plus difficile. Evidemment, si on le veut vraiment, dans un pays "libre", il y a toujours moyen de se procurer une arme à feu, mais du fait qu'on n'en trouve pas au supermarché du coin et que l'achat nécessite des conditions assez restrictives, n'importe quel fou frustré ne peut pas décider sur un coup de tête d'aller descendre des gens. Certains voient dans la tuerie de Virignia Tech une raison de plus d'armer les citoyens, qu'ils aient au moins les moyens de se défendre. Je ne comprends même pas que l'on puisse dire de telle stupidités. C'est comme ça qu'on se retrouverait avec des armes et des meurtres dans tous les sens, cela ne fait aucun doute. Pourquoi? Parce que ce serait tellement tentant de se servir de me parle pas d'argent avec l'armée, sans régimes et à toutes les parler des livraisons d'armes illicites à tous les milices "totalitaires"). Voilà.
- Hasard total du calendrier, France 2 a diffusé Mercredi 18 Avril le fil Terminator. Dans ce film, il y a beaucoup de morts. Alors non, le Terminator , n'est pas humilié ni brimé, ce n'est pas pour ça qu'il tue plein de gens, de toute façon il ne ressent pas d'émotions, il tue juste ceux qui sont entre lui et Sarah Connor. Cependant, la fameuse scène du commissariat où le Terminator tue tout le monde, très calmement, sereinement, sans que personne puisse rien faire, m'a fait penser à la manière dont a été décrit le massacre de Virginia Tech et le comportement du tueur.
Un peu à part, mais je trouve la scène du night club hallucinante! Quand le Terminator est dans le night club où Sarah Connor s'est réfugiée, avec le ralenti, le silence, Sarah Connor seule à une table au milieu de la foule qui danse, et le Terminator qui s'approche. Ce film est effrayant, la sensation de solitude, d'impuissance. Evidemment, ça rend mieux aux US, avec ses larges avenues et ses centre-villes déserts la nuit...Ca m'a fait penser à Duel de Spielberg...
- Enfin, il y a ces videos que le forcené a fait parvenir à NBC. Quand on les voit, je crois qu'on ne peut que penser à ces videos de "martyrs" palestiniens. Le gars parle de Jésus, raconte comme il a été opprimé, que ce n'est pas de sa faute, ...et puis il y a toute la mise en scène, la tenue, les armes aux poings...On peut s'interroger sur l'influence des videos de martyrs que l'on voit passer sur toutes les chaînes de télé dès qu'un gars se fait exploser.
Saturday, April 14, 2007
Zéro pointé
Evidemment, je ne suis pas exempt de reproches, je fais aussi des fautes d'orthographe, de plus en plus même, c'est l'âge et la nature de mon travail qui font ça, mais je fais des efforts, au moins sur les trucs de base.
Voilà, j'ai encore râlé, amis de la poésie, bonsoir.
Monday, April 9, 2007
Le tri sélectif dans mon immeuble
J'ai lu quelque part qu'en Suède ou un pays voisin, il y a une sorte de brigade qui "traque" les indélicats qui se débarrassent n'importe comment de leurs déchets, les gravats par exemple, ou bien justement le tri qui n'est pas fait. Je serais même partisan de la délation dans certains cas...Je sais, la délation, c'est mal vu, on pense tout de suite à une certaine période sombre de notre histoire, et effectivement, le principal problème de la dénonciation, que je vois de manière basique comme de l'aiguillage à but citoyen, c'est sa mauvaise utilisation, à des fins personnelles par exemple, de vengeance, d'embarras, ...
Un violoniste dans le métro
Cet article me touche dans la mesure où je suis un des individus qui courent tout le temps, en particulier dans les stations de métro, que j'ai remarqué souvent dans ma station d'arrivée (et de départ) actuelle des artistes de rue, dont j'ai cherché à évaluer le talent dans la minute d'attention que je leur ai accordée sans jamais prendre le temps de m'arrêter et d'écouter. Je suis peut-être passer à côté de quelque chose...
Note: Article trouvé par l'intermédiaire de DesignVerb
Monday, April 2, 2007
Et après?
D'une part, je me demande qui de nos jours travaillerait toute sa vie pour la même entreprise (hors hypothèse "d'accident" de parcours provoquant un arrêt précipité), même pour des personnes disposant d'un faible niveau de qualification. En effet, la relation à l'entreprise n'est plus la même, dans un sens comme dans l'autre. Il est attendu qu'un employé change d'entreprise, pour augmenter son salaire, apprendre de nouvelles choses, prendre des responsabilités, ...L'entreprise n'attache plus la même importance à conserver ses employés, surtout s'ils sont peu qualifiés.
D'autre part...wow, 42 ans. 42 ans de routine, les mêmes personnes, les mêmes lieux, les habitudes, un certain rythme. Et du jour au lendemain, plus rien. Un peu comme un prisonnier ou un animal auquel on rendrait sa liberté. D'un coup, l'espace, le champ des possibilités "infinies". Là on peut avoir avoir envie de retourner en arrière, vers ce coin douillet qu'on connaît si bien, où l'on est si à l'aise. Moi ça me ferait un peu peur. Ca me semble plus dur que de changer de boulot.
Bref. J'imagine qu'une retraite ça se prépare. En fait, c'est toujours pareil dans la vie. Il faut toujours avoir des projets, un plan de sortie, sinon on sombre...
Sunday, April 1, 2007
Aujourd'hui
Friday, March 30, 2007
On en apprend tous les jours
- je suis censé toujours avoir une pièce d'identité sur moi (je le savais en fait, enfin je crois)
- je suis censé toujours avoir au moins 10 euros avec moi, sinon je peux être considéré comme vagabond.
Je ne suis pas allé vérifier la véracité de ses propos, mais il m'a rappelé un vieux voisin très bête qu'on avait quand j'étais petit qui nous sortait toujours des articles de loi pour nous interdire de nous garer devant chez lui ou pour éviter de rendre la balle perdue dans son jardin.
Bref.
J'ai quand même réalisé le lendemain de cet accrochage que:
- l'automobiliste était en tort car je venais sur sa droite (Mmmmm les petites réparations du vélo)
- mon assurance habitation sert aussi d'assurance civile, je suis donc couvert pour cet accident.
Monday, March 26, 2007
Comme pour les animaux
Tuesday, March 20, 2007
Histoire
Un homme en tire un autre d'une mare de merde, énorme, profonde. L'autre, il étouffait déjà. Il le sort en risquant sa propre vie. Ils sont couchés au bord de cette mare horrible. Ils n'arrivent pas à reprendre leur souffle. Le gars sauvé se tourne vers l'autre: "Qu'est-ce qui te prend? Pourquoi m'as-tu sorti de là? J'habite ici."
Le père de FORTRAN est mort
Je reproduis l'article du NYT suivant à propos de FORTRAN et de John W. Backus.
John W. Backus, 82, Fortran Developer, Dies
John W. Backus, who assembled and led the I.B.M. team that created Fortran, the first widely used programming language, which helped open the door to modern computing, died on Saturday at his home in Ashland, Ore. He was 82.
His daughter Karen Backus announced the death, saying the family did not know the cause, other than age.
Fortran, released in 1957, was “the turning point” in computer software, much as the microprocessor was a giant step forward in hardware, according to J.A.N. Lee, a leading computer historian.
Fortran changed the terms of communication between humans and computers, moving up a level to a language that was more comprehensible by humans. So Fortran, in computing vernacular, is considered the first successful higher-level language.
Mr. Backus and his youthful team, then all in their 20s and 30s, devised a programming language that resembled a combination of English shorthand and algebra. Fortran, short for Formula Translator, was very similar to the algebraic formulas that scientists and engineers used in their daily work. With some training, they were no longer dependent on a programming priesthood to translate their science and engineering problems into a language a computer would understand.
In an interview several years ago, Ken Thompson, who developed the Unix operating system at Bell Labs in 1969, observed that “95 percent of the people who programmed in the early years would never have done it without Fortran.”
He added: “It was a massive step.”
Fortran was also extremely efficient, running as fast as programs painstakingly hand-coded by the programming elite, who worked in arcane machine languages. This was a feat considered impossible before Fortran. It was achieved by the masterful design of the Fortran compiler, a program that captures the human intent of a program and recasts it in a way that a computer can process.
In the Fortran project, Mr. Backus tackled two fundamental problems in computing — how to make programming easier for humans, and how to structure the underlying code to make that possible. Mr. Backus continued to work on those challenges for much of his career, and he encouraged others as well.
“His contribution was immense, and it influenced the work of many, including me,” Frances Allen, a retired research fellow at I.B.M., said yesterday.
Mr. Backus was a bit of a maverick even as a teenager. He grew up in an affluent family in Wilmington, Del., the son of a stockbroker. He had a complicated, difficult relationship with his family, and he was a wayward student.
In a series of interviews in 2000 and 2001 in San Francisco, where he lived at the time, Mr. Backus recalled that his family had sent him to an exclusive private high school, the Hill School in Pennsylvania.
“The delight of that place was all the rules you could break,” he recalled.
After flunking out of the University of Virginia, Mr. Backus was drafted in 1943. But his scores on Army aptitude tests were so high that he was dispatched on government-financed programs to three universities, with his studies ranging from engineering to medicine.
After the war, Mr. Backus found his footing as a student at Columbia University and pursued an interest in mathematics, receiving his master’s degree in 1950. Shortly before he graduated, Mr. Backus wandered by the I.B.M. headquarters on Madison Avenue in New York, where one of its room-size electronic calculators was on display.
When a tour guide inquired, Mr. Backus mentioned that he was a graduate student in math; he was whisked upstairs and asked a series of questions Mr. Backus described as math “brain teasers.” It was an informal oral exam, with no recorded score.
He was hired on the spot. As what? “As a programmer,” Mr. Backus replied, shrugging. “That was the way it was done in those days.”
Back then, there was no field of computer science, no courses or schools. The first written reference to “software” as a computer term, as something distinct from hardware, did not come until 1958.
In 1953, frustrated by his experience of “hand-to-hand combat with the machine,” Mr. Backus was eager to somehow simplify programming. He wrote a brief note to his superior, asking to be allowed to head a research project with that goal. “I figured there had to be a better way,” he said.
Mr. Backus got approval and began hiring, one by one, until the team reached 10. It was an eclectic bunch that included a crystallographer, a cryptographer, a chess wizard, an employee on loan from United Aircraft, a researcher from the Massachusetts Institute of Technology and a young woman who joined the project straight out of Vassar College.
“They took anyone who seemed to have an aptitude for problem-solving skills — bridge players, chess players, even women,” Lois Haibt, the Vassar graduate, recalled in an interview in 2000.
Mr. Backus, colleagues said, managed the research team with a light hand. The hours were long but informal. Snowball fights relieved lengthy days of work in winter. I.B.M. had a system of rigid yearly performance reviews, which Mr. Backus deemed ill-suited for his programmers, so he ignored it. “We were the hackers of those days,” Richard Goldberg, a member of the Fortran team, recalled in an interview in 2000.
After Fortran, Mr. Backus developed, with Peter Naur, a Danish computer scientist, a notation for describing the structure of programming languages, much like grammar for natural languages. It became known as Backus-Naur form.
Later, Mr. Backus worked for years with a group at I.B.M. in an area called functional programming. The notion, Mr. Backus said, was to develop a system of programming that would focus more on describing the problem a person wanted the computer to solve and less on giving the computer step-by-step instructions.
“That field owes a lot to John Backus and his early efforts to promote it,” said Alex Aiken, a former researcher at I.B.M. who is now a professor at Stanford University.
In addition to his daughter Karen, of New York, Mr. Backus is survived by another daughter, Paula Backus, of Ashland, Ore.; and a brother, Cecil Backus, of Easton, Md.
His second wife, Barbara Stannard, died in 2004. His first marriage, to Marjorie Jamison, ended in divorce.
It was Mr. Backus who set the tone for the Fortran team. Yet if the style was informal, the work was intense, a four-year venture with no guarantee of success and many small setbacks along the way.
Innovation, Mr. Backus said, was a constant process of trial and error.
“You need the willingness to fail all the time,” he said. “You have to generate many ideas and then you have to work very hard only to discover that they don’t work. And you keep doing that over and over until you find one that does work.”
Saturday, March 17, 2007
Je craque!
Friday, March 16, 2007
Mais c'est d'la merde!
Sunday, March 11, 2007
Télécommande à balles
La petite maison dans la prairie
Accessoirement, je suis aussi passé aux falaises d'Etretat, c'est très joli et impressionnant.
Thursday, March 1, 2007
Conduire rend fou
Vu hier soir à Paris dans la rue Planchat:
Une Smart noire, vitres teintées, immatriculée à Paris, manque écraser un piéton sur un passage clouté. Quand la voiture stoppe pour tourner, le rescapé tapote le carreau côté conducteur pour signaler son mécontentement. Manque de bol, le (jeune) conducteur semble encore plus mécontent. Il baisse sa vitre et commence à insulter le piéton, le menaçant de le tuer. Puis il recule, manque écraser une madame qui traversait sur les clous, ouvre sa portière, et sort à moitié de la voiture. S'ensuit une bordée d'insultes, ininterrompue pendant plus d'une minute, à l'encontre du pauvre piéton, entrecoupée de promesses et de menaces diverses à l'encontre du rectum et de la famille (sa mère en particulier) de la victime. Puis il rentre dans sa caisse à savon et démarre en trombe. Le piéton lui, dépité, désespéré, rentre chez lui.
Sunday, February 25, 2007
Le prix de l'eau
Bref, en tant que citoyens responsables et éduqués, ll faut réfléchir pour résister à la désinformation véhiculée par les medias et les professionnels du marketing, parfois les pouvoirs publics, et ainsi défendre nos droits, notre liberté, et notre portefeuille.
Monday, February 19, 2007
Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas
- Suresh réside au Normandy Hotel, à St Lazare,
- j'avais modifié mon trajet suite au déménagement rue des Mathurins,
- j'ai dépassé mon temps habituel de pause déjeuner,
- j'avais les yeux ouverts,
- la chambre de Suresh n'était pas prête,
- je vois A. mardi midi et le déjeuner avec mon commercial est mercredi
- etc...
Bref, le hasard...
Saturday, February 17, 2007
Youyous
Je ne sais pas si je deviens intolérant (et je n'ai pas encore 30 ans) mais ça ne me semble pas normal de faire autant de bruit sans se soucier de ses voisins. Ou alors j'en suis au stade de la réaction épidermique systématique suite aux quelques problèmes que j'ai déjà rencontrés avec cette famille (ajouter aux différents types de nuisance sonore et au dégât des eaux la pollution de la cour avec des encombrants).
Le mythe de la dématérialisation
Finalement, bilan du déménagement: j'ai tout jeté, on a tous les documents à portée de clic...
Note: il m'arrive, très rarement, d'imprimer, lorsque j'ai besoin d'écrire sur le document, de souligner, de lier des idées entre elles, et même là, je mets un point d'honneur à utiliser la face vierge de la feuille comme brouillon. Et je mets le papier au recyclage quand je n'en ai plus besoin...
Sunday, January 28, 2007
Un jour, nous [les ninfomanes] détruirons le monde
Bref. Il ya quelques blogs que je suis régulièrement à ce propos, Coding Horror et Creating Passionate Users. Un post intéressant de Joel on Software. Il y a aussi cet article intéressant du NYT que je reproduis ci-dessous.
Awaiting the Day When Everyone Writes Software
BJARNE STROUSTRUP, the designer of C++, the most influential programming language of the last 25 years, has said that “our technological civilization depends on software.” True, but most software isn’t much good. Too many programs are ugly: inelegant, unreliable and not very useful. Software that satisfies and delights is as rare as a phoenix.
All this does more than frustrate computer users. Bad software is terrible for business and the economy. Software failures cost $59.5 billion a year, the National Institute of Standards and Technology concluded in a 2002 study, and fully 25 percent of commercial software projects are abandoned before completion. Of projects that are finished, 75 percent ship late or over budget.
The reasons aren’t hard to divine. Programmers don’t know what a computer user wants because they spend their days interacting with machines. They hunch over keyboards, pecking out individual lines of code in esoteric programming languages, like medieval monks laboring over illustrated manuscripts.
Worse, programs today contain millions of lines of code, and programmers are fallible like all other humans: there are, on average, 100 to 150 bugs per 1,000 lines of code, according to a 1994 study by the Software Engineering Institute at Carnegie Mellon University. No wonder so much software is so bad: programmers are drowning in ignorance, complexity and error.
Charles Simonyi, the chief executive of Intentional Software, a start-up in Bellevue, Wash., believes that there is another way. He wants to overthrow conventional coding for something he calls “intentional programming,” in which programmers would talk to machines as little as possible. Instead, they would concentrate on capturing the intentions of computer users.
Mr. Simonyi, the former chief architect of Microsoft, is arguably the most successful pure programmer in the world, with a personal fortune that Forbes magazine estimates at $1 billion. There may be richer programmer-billionaires — Bill Gates of Microsoft and Larry Page of Google come to mind — but they became rich by founding and managing technology ventures; Mr. Simonyi rose mainly by writing code.
He designed Microsoft’s most successful applications, Word and Excel, and he devised the programming method that the company’s software developers have used for the last quarter-century. Mr. Simonyi, 58, was important before he joined Microsoft in 1981, too. He belongs to the fabled generation of supergeeks who invented personal computing at Xerox PARC in the 1970s: there, he wrote the first modern application, a word processor called Bravo that displayed text on a computer screen as it would appear when printed on page.
Even at leisure, Mr. Simonyi, who was born in Hungary and taught himself programming by punching machine code on Russian mainframes, is a restless, expansive personality. In April, he will become the fifth space tourist, paying $20 million to board a Russian Soyuz rocket and visit the International Space Station.
Mr. Simonyi says he is not disgusted with big, bloated, buggy programs like Word and Excel. But he acknowledges that he is disappointed that we have been unable to use “our incredible computational ability” to address efficiently “our practical computational problems.”
“Software is truly the bottleneck in the high-tech horn of plenty,” he said.
Mr. Simonyi began thinking about a new method for creating software in the mid-1990s, while he was still at Microsoft. But his ideas were so at odds with .Net, the software environment that Microsoft was building then, that he left the company in 2002 to found Intentional Software.
“It was impractical, when Microsoft was making tremendous strides with .Net, to send somebody out from the same organization who says, ‘What if you did things in this other, more disruptive way?’ ” he said in the January issue of Technology Review.
For once, that overfavored word — “disruptive” — is apt; intentional programming is disruptive. It would automate much of software development.
The method begins with the intentions of the people inside an organization who know what a program should do. Mr. Simonyi calls these people “domain experts,” and he expects them to work with programmers to list all the concepts the software must possess.
The concepts are then translated into a higher-level representation of the software’s functions called the domain code, using a tool called the domain workbench.
At two conferences last fall, Intentional Software amazed software developers by demonstrating how the workbench could project the intentions of domain experts into a wonderful variety of forms. Using the workbench, domain experts and programmers can imagine the program however they want: as something akin to a PowerPoint presentation, as a flow chart, as a sketch of what they want the actual user screen to look like, or in the formal logic that computer scientists love.
Thus, programmers and domain experts can fiddle with whatever projections they prefer, editing and re-editing until both parties are happy. Only then is the resulting domain code fed to another program called a generator that manufactures the actual target code that a computer can compile and run. If the software still doesn’t do what its users want, the programmers can blithely discard the target code and resume working on the domain workbench with the domain experts.
As an idea, intentional programming is similar to the word processor that Mr. Simonyi developed at PARC. In the jargon of programming, Bravo was Wysiwyg — an acronym, pronounced WIZ-e-wig, for “what you see is what you get.” Intentional programming also allows computer users to see and change what they are getting.
“Programming is very complicated,” Mr. Simonyi said. “Computer languages are really computer-oriented. But we can make it possible for domain experts to provide domain information in their own terms which then directly contributes to the production of the software.”
Intentional programming has three great advantages: The people who design a program are the ones who understand the task that needs to be automated; that design can be manipulated simply and directly, rather than by rewriting arcane computer code; and human programmers do not generate the final software code, thus reducing bugs and other errors.
NOT everyone believes in the promise of intentional programming. There are three common objections.
The first is theoretical: it is based on the belief that human intention cannot, in principle, be captured (or, less metaphysically, that computer users don’t know what people want).
The second is practical: to programmers, the intentional method constitutes an “abstraction” of the underlying target code. But most programmers believe that abstractions “leak” — that is, they fail to perfectly represent the thing they are meant to be abstracting, which means software developers must sink their hands into the code anyway.
The final objection is cynical: Mr. Simonyi has been working on intentional programming for many years; only two companies, bound to silence by nondisclosure agreements, acknowledge experimenting with the domain workbench and generator. Thus, no one knows if intentional programming works.
Sheltered by Mr. Simonyi’s wealth, Intentional Software seems in no hurry to release an imperfect product. But it is addressing real and pressing problems, and Mr. Simonyi’s approach is thrillingly innovative.
If intentional programming does what its inventor says, we may have something we have seldom enjoyed as computer users: software that makes us glad.
Jason Pontin is the editor in chief and publisher of Technology Review, a magazine and Web site owned by M.I.T. E-mail: pontin@nytimes.com.
Friday, January 26, 2007
Mendicité organisée
Autre exemple, le petit barbu bedonnant que je vois depuis des années dans le coin de la Défense. Le midi, il s'installe dans le passage entre l'arche de la Défense et les tours de la Société Générale, il prend son air un peu triste mais gentil, il est assis, et il attend que l'argent lui tombe dans le chapeau. Et le soir il attend près du bâtiment de la Coface, même scénario.
Enfin, il y a le petit vieux moustachu à l'air très triste, qui fait la manche dans la station Opéra, suit intelligemment le sens du traffic humain (les gens qui montent le matin, ceux qui descendent le soir) et fait de longues pauses déjeuners. Bref. Tous ces gens m'irritent. Il y a quelques jours, j'ai repensé à l'obligation faite aux Musulmans de faire la charité. Quand on y pense, ça marche comme nos systèmes de sécu et de chômage, en moins concerté (quoique...): finalement, la raison pour laquelle les gens paient des impôts, qui financent nos organismes sociaux, c'est la croyance que le système est juste et le sentiment qu'ils peuvent aussi un jour se trouver en difficulté et vouloir profiter du système d'aide gouvernemental. C'est exactement ce qui se passe pour la charité. Et évidemment, le système est dévoyé, abusé, ce qui érode la confiance des payeurs dans le système et fait qu'ils ne veulent plus payer. C'est pourquoi le gouvernement doit engager plus de moyens pour contrôler les dépenses sociales (qui obtient, est-ce justifié) et lutter contre les filière de la mendicité organisée.